Le consulat clandestin
Arthur Reilly, comme tous les tchan-zâciens, ne travaille que trois jours par année. En 2017, sa corvée aura consisté à imprimer 300 visas pour Tchan-Zâca dans le consulat clandestin de la République Autonome de Tchan-Zâca, installé dans un container bleu sur la plaine de Plainpalais à Genève. Tchan-Zâca n'étant pas encore reconnu par la communauté internationale, Genève risquait de ne pas accepter cette petite ambassade ambulante. Nous nous sommes donc mis à cinq pour aider Arthur à camoufler le consulat clandestin en le dissimulant derrière une fausse exposition de gravures.