Analepse
Arthur me parle de sa vie passée à Tchan-Zâca.
Ses anecdotes compliquées m’amènent à faire des tableaux laborieux mais, d’après lui, ma peinture
n’est pas fidèle à ses descriptions.
Il est énervé de ne jamais se reconnaître dans mes tableaux.
Il me propose de consulter une neurologue, d’après Arthur
ma perception de la réalité aurait un défaut.